En plein coeur de cette vraie fausse « guerre » du COVID contre la démocratie et de son état major de pacotille au pouvoir indu au sein de ce conseil de défense et de manipulation transformant les vies des Français en champ de bataille sans autre alternative que de leur faire creuser leurs propres tombes, imaginez un instant une catastrophe écologique, un tremblement de terre digne d’un remake de San Andreas et qui fasse que vous vous retrouviez spectateur le long d’une faille béante, avec d’un côté, Macron et un père de famille, et de l’autre côté de la faille, la femme et les enfants de ce père de famille selon un scénario aux inspirations hollywoodiennes.
Et qu’une seule question se pose, à savoir ce que ferait ce père de famille ?
Suivre Macron jusqu’à ce que mort s’en suive
Suivrait-il Macron dans « l’intérêt suprême » de la nation promulgué par ce dernier avec l’énergie du désespoir et un dernier rail de coke, et ce qu’il en resterait, à savoir les restes des décombres d’un capitalisme contraire aux lois de la nature et aggravé jusqu’au dernier jour par les décisions démentes de ce gouvernement sourd à toutes les solutions proposées de part et d’autre, et recherchant à recruter 13000 soldats pour lutter dans la guerre contre le COVID tandis que l’hôpital continue à perdre des lits ? (*)
Agir en bon père de famille
Et donc, que choisirait ce père de famille ? Lui faudrait-il encore écouter Macron lui asséner une démonstration parfaite sous toutes les coutures de son costard entartré par une nature déclarée nouvelle rebelle en lice puis le voir déclamer l’index en l’air: “il faut que vous portiez mes affaires, répondiez à toutes mes exigences, et vous dévêtir de tous vos vêtements à mon profit et accéder en même temps pour vous à cette promotion sociale d’avoir mon Louis Futon (**) en échange, et, je vous le promets, de recevoir une prime exceptionnelle sous la forme d’un crédit d’impôt si tant est que vous continuez à me servir loyalement, sans donner votre avis et même si mes décisions sont contraires à vos convictions, et ce, pendant 3 ans révolus, sous réserve d’une croissance des services que vous auriez rendus à la patrie que je représente ».
Est-ce que ce père de famille, supposé modèle de bienveillance, prendrait la peine de lui exposer ses motivations et solliciterait la magnanimité d’un prétendant déchu à devenir un dieu de la mondialisation, quant à sa volonté de rejoindre sa famille et de suppléer à ses besoins vitaux, quittant l’horizon d’un trans-humanisme délirant pour la transhumance forcée à rechercher les moyens de sa subsistance ?
Ou, de manière moins consensuelle, la réalité, ne serait-elle pas que ce père de famille n’hésiterait pas un instant à s’occuper des siens, et que, face aux injonctions dérivant en menaces d’enfant gâté/pourri – du Macron ayant couché avec la prof pédophile bravant l’interdit symbole constitutif du parfait manipulateur -, il ne manquerait de lui ajuster « un grand coup de poing dans la gueule« , ou tout au mieux l’affublerait d’un ”casse-toi connard” de circonstances, ou tout au pire, il en viendrait à récupérer ses vêtements acquis sur le pillage de notre démocratie pour en faire une corde avec pantelons et chemises en kevlar pour enfin rejoindre ses enfants et sa femme par tous les moyens possibles et surtout imaginables.
La réponse de la grand-mère de l’EHPAD
Mais si c’était une grand-mère à côté du même Macron face au désastre humain, écologique de cette finance du néonazisme léguée pour seul héritage aux générations futures et que, face au gouffre béant, Macron lui demandait de lui léguer ses bottes d’octogénaire en échange des mocassins d’une petite pointure ? Que serait donc le dernier acte de dévotion pour la République, cette « volonté jamais achevée, toujours à reconquérir », de cette grand-mère pour la postérité ?
Faisant fi il est vrai de tout observatoire sur les comportements humains, la vérité qui se conjecture, c’est que cette grand-mère tout juste échappée de son EHPAD en ruines prendrait alors son parapluie des annéess 39-45 ou son sac à main et ne manquerait point de tabasser avec une ferveur de jouvencelle ce représentant de la cinglerie du nouvel ordre mondial des voleurs de vie, et ce, tant qu’elle le peut et s’il le faut jusqu’à qu’à son dernier souffle afin que ces imposteurs puissent enfin prendre la fuite sans demander leur reste et cessent enfin de nuire à notre pays, à ses pères de famille, ses travailleurs, ses enfants, et tout ce qui peut exister sur cette terre de vivant et aspirant à survivre autrement que par l’euthanasie des gilets jaunes, la dictature du non-sens, l’épuration des inutiles, la violence contre le peuple, l’enfermement des opposants, le suicide des jeunes, le génocide des paysans, de celui des restaurateurs, …., et ce au simple justificatif de s’être habitué à génocider comme BNP-Paribas sur le Rwanda ou Rotschild/Bénalla pour des Mines d’or en Afrique, encore et toujours.
La vérité sort de la bouche des enfants
Et, dernière hypothèse, et toujours dans cette même étude imaginaire non pas issue de la chienlit progressiste d’un check news journalistique désormais garant non plus de la diversité des opinions mais de la pensée unique et inique de la propagande des lobbys malitaro-vaccino-porno-industriels tout autant que Wikipédia est « bénévolement » garant à plein temps de la censure de la connaissance …, imaginons encore que ce soit un enfant qui se retrouve face à ce même dilemme.
Le choix se poserait pour cet enfant entre suivre le tout beau Macron sorti du téléviseur et, face à lui, issu du monde réel, un paysan, un infirmier, un professeur des écoles, ou un gendarme. Se déciderait-il pour un beau parleur sachant mentir pour faire disparaître ses échecs lamentables et mensonges éhontés tout en prétendant continuer à nous leurrer étape par étape comme selon la stratégie de la carotte placée devant les ânes bâtés que nous serions ? Choisirait-il ce représentant du porte à porte des médias et de leur culte de l’argent qui nous a mis dans un tel foutoir, ou désignerait-il plutôt quelqu’un qui sait comment le nourrir, ou le soigner, ou lui apprendre des choses utiles, ou le protéger pour de vrai ? Croyons-nous que les enfants ne verraient pas la peur du vide abyssal derrière ce qui n’est que du vent, cet argent sans substance au pouvoir de ceux qui ne savent rien faire parce condamnés à devoir se sentir supérieur dans un monde artificiel d’une finance sous perfusion de la planche à billets, persévérant à spolier la souveraineté du peuple et de son intérêt national guidé par les vieux salopards pervers à la Soros ou à l’Epstein armés des antivirus d’un Bill Gates au système foireux, ce mercenariat du quotidien pour nos économies et se revendiquant comme tel en coulisse avec un statut de gangster en bandes organisées sans scrupules derrières leurs écrans de la City, de New York ou de Paris ?
Il est fort à parier que l’enfant dirait à Macron de retourner dans son téléviseur et qu’il choisirait n’importe quel être « humain » et pas un robot parce que ceux qui ont un cœur, et les enfants en ont un, et leur test de Turing de vraie intelligence du coeur est impitoyable: ils savent reconnaître celui qui les aime vraiment, et ceux par qui par leurs actions aux quotidien leur témoignent d’un amour véritable. L’amour d’un paysan lui donnant un fruit de la terre, l’amour d’un infirmier lui soignant une plaie avec la douceur d’une mère ou d’un père, l’amour d’un professeur des écoles l’aidant à comprendre ses erreurs, l’amour d’un gendarme prêt à donner sa vie pour sauver la sienne, et pas les mensonges d’un Macron aseptisé qui a enfermé sa famille pour se retrouver au point de départ après un an plutôt que de créer des places dans les hôpitaux, de fournir les solutions proposées par les Français, et non de détruire le travail de ses parents, d’entrainer des disputes dans sa famille et de l’empêcher de voir ses grands-parents euthanasiés dans leur EPHAD.
Demain: la question de ce que nous voulons pour nos vies
Car aujourd’hui, il y a une autre question que nous devrions nous poser avant de prétendre vouloir construire un autre modèle de société, ce serait simplement de savoir ce que nous aimerions faire s’il ne nous restait qu’un seul jour à vivre ?
Peut-être devrions-nous tous nous poser cette question pour réaliser ce qui compte réellement dans nos vies et ce qui devrait diriger nos existences communes.
Et si ce dernier jour arrivait, irions-nous piller les magasins à la recherche du dernier modèle de stabilo-boss ou d’iPhone?
Sûrement que certains iraient défoncer la vitrine du concessionaire Posrche le plus proche pour aller enfin faire un tour en 911 . Mais seraient-il seuls à bord de cette voiture ?
Il vient naturellement à l’esprit que nous aimerions évidemment passer du temps avec ceux que nous aimons, et que notre préoccupation serait celle d’aimer coûte que coûte nos proches ou, à défaut, de passer un moment avec ceux qui nous entourent, et de chercher et de puiser l’authenticité au plus profond de nous-mêmes, et que ce que nous y trouvions, ce serait juste un mot, un concept et son corollaire du bonheur de l’article I de la Constitution de 1793, nul part exprimé dans cet état de droit vidé de toute humanité et antinomique à la raison pure dans sa critique, ce terme passé en désuétude, cette question devenue taboue et qui s’appelle encore et toujours, l’amour, parce que la beauté que recouvre ce terme relègue la vulgarité de la politique actuelle au plus bas de l’échelle historique de notre pays.
Le denier jour, ou faire sa prière
Mais ceux qui seraient seuls, que feraient-ils donc ?
Peut-être bien que certains d’entre eux se mettraient … à prier, en espérant qu’ii y ait un Dieu sur cette terre pour leur venir en aide. Et il serait alors fait fi de la loi sur l’athéisme, celle qui est en train de fare sauter le dernier rempart contre la barbarie et la boucherie de la guerre, contre la robotisation d’une intelligence reléguant à la médiocrité les questions métaphysique et religieuse, pourtant strictement nécessaires à se poser lorsque nous voulons vraiment remettre cause notre Constitution comme au temps des Lumières. Parce que réduire l’intelligence au calcul d’une machine ou un résultat statistique comme dans le cas des réseaux de neurones du « deep learning » et par ceux qui sont totalement incompétents pour parler d’intelligence Artificielle et de Big Data. c’est nier l’homme et la question du déterminisme et de l’avenir, et donc d’un ordre des choses, justifiant seuls de la nécessité de la vertu et de la morale, pour unir l’avenir des hommes sur des principes et non les diviser par des calculs de rentabilité aux dogmes arbitraires et autoritaires comme ce gouvernement à la philosophie néonazi essaye de l’imposer. La loi ne peut passer avant le le fait de pouvoir penser librement, et penser librement dans un monde indéterminé, c’est laisser la première place au libre arbitre, devant la loi qui succède et non précède, et y compris derrière l’existence potentielle de Dieu aussi bien pour les croyants que ceux qui ne croient pas. Comme si la question de la création de la vie pouvait dépendre de la loi d’un Darmanin. Faire autrement, c’est tuer tout l’héritage de la méta-physique et donc de la liberté de l’homme à côté de la question de Dieu et des questions cosmologiques dont le trans-humanisme est la réponse nauséabonde à la question de l’immortalité et de l’âme humaine.
Aujourd’hui, le dernier rempart contre le néo-nazisme de la politique sans vie de Macron, de ces ministres et de cette caste franc-maçonne au pouvoir, coupée de la confrontation à l’expérience et donc de toute base théorique réelle pour prétendre penser le réel, est bien de dire que l’intelligence humaine n’est pas celle d’un robot et que laisser des dangereux imposteurs comme Laurent Alexandre le prétendre au Sénat, sur de telles ignominies et mettre en avant la dictature comme modèle politique ou le fait de « baiser avec un robot » comme progrès motivant notre développement social, ce ne sont pas de nos valeurs, parce que nous pensons, parce que l’intelligence ne se réduit pas à une capacité de calcul, mais fait appel aussi à notre imagination, à notre désir de vivre des choses entre humains, à partager des moments, et surtout, parce que nous aimons, pace que nous savons ce que c’est que d’aimer, et qu’aimer, ce n’est pas coucher avec un robot, et plus encore, qu’il est à reconnaître l’amour en tout chose, comme le principe de base de la science à unir le divers en quelque chose de nouveau, de la particule à la molécule, du questionnement à l’idée, des individus à la société, d’un homme à une femme jusqu’à une famille, de la thèse et l’anti-thèse jusqu’à la synthèse qui les réconcilient en quelques chose de nouveau. L’amour comme principe d’évolution.
Non à la pseudo intelligence vraiment artificielle de la race supérieure de Macron et de ses acolytes du néo-nazisme et d’une maçonnerie déjà à l’instigation des deux premières guerres mondiales, cette philosophie de la guerre et de la mort basée sur une fausse interprétation de la métaphysique, et Oui, et bien oui, à l’amour pour dépasser les difficultés, quand bien même elles sembleraient insurmontables. Plaçons la question de l’homme et de sa définition au coeur du débat, c’est le préalable à notre survie. Qui sommes-nous, d’où venons-nous, que faisons-nous sur terre, avons-nous un avenir ? Qu’est-ce que penser, qu’est-ce qu’aimer et que voulons-nous pour nos enfants et nos vies ?
Les solutions existent partout en France, seul manque un changement d’échelle et une stratégie du local au national
Si aujourd’hui nous devions agir réellement, cela passerait nécessairement par une remise à plat de nos objectifs, de savoir ce que chacun souhaite réellement dans sa vie, que chacun puisse exprimer ses motivations pour lui, sa famille, sa ou ses communautés, son pays, à avoir une vision et des solutions locales, régionales, nationales et ouvertes à l’international et lancer des projets selon une stratégie de transition réelle quitte à geler toutes les dettes, transformer chaque commune selon des projets de développement avec un « business-plan » et des habitants à « recruter » selon leur projet de vie, de former les personnes, les équipes, de créer un réseau national de rencontres entres les territoires et les hommes et femmes de notre pays, d’avoir une ambition pariant sur les qualités de chacun et sur la richesse de la nature et non de la technique vue comme fin en soi, puis d’aider les citoyens à se lancer dans les métiers auxquels ils rêvent, à se décider à construire ce monde qu’on avait toujours cru possible jusqu’à cette dead-line écologique et de nos ressources naturelles en extinction, et au-delà de tous ces gadgets qui ne sont que de la poudre aux yeux, soit ne pas imposer un modèle idéaliste, mais demander à chacun ce qu’il souhaite réellement dans sa vie et construire une société à cette image, dans un déploiement au niveau national de toutes ces bonnes initiatives qui ont été prises localement partout en France et avec succès par des Maires entreprenants et autodidactes du monde réel et des expérimentations soumises à l’expérience, selon une approche qui elle, est bel et bien en soi de la science et non de la duperie. Et oublier cette caste fumeuse dont les seuls projets emblématiques se sont résumés à libéraliser le marché des autocars et à prétendre aller chercher des poulets en Argentine.
Se vacciner de la mondialisation par la relocalisation
Lancer des projets au niveau national sur l’exemple des expérimentations réussies sur les circuits-courts, équilibrer la mondialisation, et s’il faut confiner, mais alors il sera possible de confiner au niveau des départements ou des communes, ou du pays, et pas au niveau de chaque famille chez elles parce que nous serions alors capables d’assurer l’autonomie sans aller chercher nos biens à l’étranger et la certitude à terme d’introduire du même coup les nouveaux virus venus de Chine ou d’ailleurs. Vaccinons-nous de la mondialisation en relocalisant.
(*) Et selon le même principe qui a voulu que l’on invente le numerus clausus, un terme qui en lui-même résume bien le délire de nos pseudos élites, à savoir cacher derrière un mot savant excluant le commun des mortels de tout discussion et aboutissant pourtant à cette bêtise effroyable sur la réduction du nombre des dentistes pour faire chuter soi-disant les dépenses de la Sécurité Sociale, comme si cela pouvait diminuer le nombre des caries !, et changer le principe si libéral de la loi sur l’offre et la demande, et avec les résultats qu’on connait aujourd’hui, à savoir instituer à prescrire des antibiotiques « pas obligatoires » et en parfait exercice illégal de la médecine par les secrétaires médicaux en attendant deux mois la prochaine visite auprès d’un dentiste roumain..
(**) Louis Futon, assemblé en France sous l’égide d’une holding basée aux Luxembourg