Retour à la raison, remise en cause, et vraies solutions

Ne serait-il pas  temps que nos décideurs  politiques réalisent que le premier vaccin pour éradiquer un virus, c’est l’hôpital avec nos médecins et soignants ? Et qu’il soit accessible à tous ne relève pas seulement de la seule charité aux fins électorales, mais du principe qui veut que pour éradiquer une maladie, il est d’un intérêt bien compris qu’il faille pouvoir soigner tout le monde, riche ou pauvre, bien nourri ou SDF, si tant est que l’on veut stopper la propagation d’un virus. C’est bien en ce sens que l’hôpital est le premier vaccin.

Aujourd’hui,  tous, nous risquons de perdre un être cher, un ami qui n’aura pas pu être soigné à l’hôpital en raison d’une cascade de mauvaise décisions et de délires coupables sur le sujet de la science tandis que son premier principe demeure celui de la non-contradiction. Cette « croyance (affichée) en la science » et des bidouilles d’antivirus sur l’ARN motivant la vaccination obligatoire dans le texte au Sénat semblent faire oublier que non seulement la machine est incapable de résoudre certaines classes de problèmes dits NP complet mais que les problèmes ne peuvent eux-mêmes avoir une chance d’être résolus par l’homme sans qu’il soit appuyé de l’observation de la nature ou, et il faut insister là-dessus, par l’usage de son imagination. 
C’est ce qu’enseigne l’histoire des sciences. Des sciences inventées pour supprimer les fausses croyances y compris celle en elle-même et à laquelle s’attèle la métaphysique avec sa critique de l’usage inconsidéré de la raison pure. Pour notre gouverne à tous, les conjectures du mathématicien Hilbert ont été soumises pour le prochain… millénaire.  

Alors n’est-il pas urgent de retrouver le respect de la nature pour avoir une chance d’évoluer ? Et relocaliser l’économie selon une stratégie majeure à expliquer pour sortir de ce délire des junkies de la mondialisation et de se limiter à utiliser le plus possible des ressources locales dont nous avons la charge, et de fait, s’assurer de leur renouvellement au lieu de massacrer des ressources à l’autre bout du monde.

Un immense travail d’explication et d’approfondissement des solutions est nécessaire pour sortir du niveau misérable où nous a conduit la légèreté à poursuivre dans une sous-culture et un modèle défaillant et dont une croyance à pouvoir juger de tout sans rien savoir selon une profession de politique qui n’aurait jamais dû exister alors que leurs fonctions se devaient d’être temporaires selon nos premières constitutions françaises.

A contrario des apparences fumeuses sur le numérique, l’épistémologie de l’informatique et de ses bien réelles et très coûteuses usines à gaz peut permettre de mieux expliciter les défaillances de notre manière de pensée et aussi les moyens de s’en sortir par une ingénierie complexe de transitions sur de nouveaux modèles, une dialectique retrouvée, et une critique de notre faculté de juger pour mieux trouver son chemin sans être stoppé par de faux problèmes pour justifier de la complication face à la  proposition de solutions vertueuses.

C’est ce dont nous avons besoin pour arrêter de se disputer entre thèse et anti-thèse parce qu’il restera et s’accumuleront toujours des problèmes de pire en pire qui ne trouvent jamais de bonnes solutions tandis qu’une vision fondée sur la vertu permet de réorganiser nos systèmes selon un nouveau modèle et paradigme, Et un nouveau système où les problèmes d’origine ne se posent plus, parce qu’ils sont rendus caduques par la synthèse, et c’est là toute  l’histoire bien comprise de la science et des vrais progrès, et pas celles des bidouilles vaccinales sur un Homme réduit à  une boite noire avec des entrées-sorties à la Microsoft Windows, pourtant déjà  responsable du retard considérable pris par l’Informatique.

C’est  ainsi offrir une nouvelle perspective, que seul peut toutefois et heureusement rendre vivante et possible le seul engouement fraternel de tous. C’est cela la vraie politique qui peut être espérée, une politique qui donne envie d’aller vers les autres pour participer à des projets, pas de se confiner chez soi.

Nos parlementaires auront-ils enfin le sursaut de permettre à des citoyens et élus engagés de préparer avec eux des projets et offrir des perspectives à approfondir ainsi qu’une remise en cause d’une manière de pensée dont on ne saisit plus les pièges ni la nécessité à évoluer de nouveau ? 

Nous n’avons pas tous la vocation à devenir des politiques, mais aujourd’hui, c’est notre devoir de s’insurger, et plus d’obéir aux ordres sur des règles infondées, mais de faire respecter les principes qui sont censés régir ses règles, parce que c’est respecter notre démocratie que de croire en un ordre possible des choses vers le bien commun et par la vertu, et non une société de robots asservis à la dictature d’imposteurs financiers qui ne sont jamais sortis de leur bulle spéculative pour aller travailler dans le monde réel.

C’est la responsabilité de chaque député et sénateur qui est engagée à en prendre conscience.

A moins que la prochaine manipulation de MM Macron et associés ne revienne à l’ordre du jour selon un remake de l’incendie du Reichstag ou de la découverte de nouvelles armes chimiques en Irak ? Le temps joue contre ceux qui peuvent agir contre la folie de ces fausses élites, l’histoire, elle, elle attend des hommes dignes de ce nom. Cela s’appelle le courage que les Français espèrent encore de ses politiques pour lancer un vrai projet pour notre pays.

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