Voici une traduction d’un article paru dans le journal américain WordlNetDaily et écrit par Elizabeth Lee Viet, titulaire d’un doctorat en médecine, présidente de la Fondation « Santé Vérité », membre de l’Association des Médecins et Chirurgiens, AAPS
En rupture choquante en égard aux politiques hospitalières traditionnelles, l’admission dans un hôpital s’assimile désormais à se présenter à l’entrée d’une prison. Et les prisonniers dans les prisons américaines ont plus de droits de visite que les patients COVID dans les hôpitaux américains.
Un membre d’une famille affectée mais aussi psychologue professionnel spécialisé dans le traitement des victimes de traumatismes, déclara ainsi que dans de nombreux hôpitaux, les patients COVID sont juste traités « un peu mieux que les animaux».
Des enregistrements choquants des propos des dirigeants d’hôpitaux de la Clinique Mayo de Scottsdale et du Banner Health System ont été publiés par un avocat du Conseil d’administration de la Fondation Santé Vérité (Truth for Health Foundation), une association reconnue d’intérêt public de l’Arizona. Les dirigeants discutaient des efforts coordonnés pour restreindre les liquides et la nutrition pour les patients COVID hospitalisés ainsi que la suppression de toutes les visites pour les patients COVID.
Le protocole COVID que les médecins hospitaliers doivent suivre, partout à travers les États-Unis, semble être la mise en œuvre du « système d’achèvement de vies » 2009-2010 développé par le Dr Emanuel Ezekiel pour rationner les soins médicaux à destination des personnes âgées de plus de 50 ans.
Le Dr Emanuel « Zeke », qui fut le conseiller principal en matière de politique de santé de la Maison Blanche auprès du Président Obama et qui a conseillé le président Joe Biden au sujet du COVID-19, a déclaré dans son article du Lancet en 2009 : « Lorsqu’il est mis en œuvre, le « système d’achèvement de vies » produit une courbe de priorité sur laquelle les individus âgés de 15 à 40 ans environ ont les chances les plus importantes, tandis que les plus jeunes et les plus âgés ont des chances atténuées.
« Atténué » signifie des soins médicaux rationnés, restreints ou refusés qui entraînent généralement une mort prématurée.
En 2021, des médecins lanceurs d’alerte, des infirmières, des avocats, des défenseurs des patients et des journalistes ont dénoncé des abus flagrants dans les hôpitaux, la négligence auprès des patients et le refus d’effectuer de vitales perfusions en intraveineuse ainsi que de fournir des médicaments de base aux patients COVID hospitalisés à travers les États-Unis.
Le protocole « Complete Lives » est issu visiblement du « Liverpool Pathway » du National Health Service au Royaume-Uni qui, dans les années 1990, consistait de fait en une euthanasie.
Nous constations désormais son usage malveillant dans le cadre du protocole COVID. Le rationnement en fonction de l’âge se produit tous les jours dans les unités COVID de nos hôpitaux, car l’écrasante majorité des patients COVID ont plus de 50 ans, c’est-à-dire l’âge auquel le Dr « Zeke » prétend qu’une vie est « achevée » et ne mérite pas l’utilisation de ressources médicales.
Le système d’achèvement de vies et le protocole COVID sont tous deux des voies menant à la souffrance et à la mort prématurée, principalement chez les Américains les plus âgés. Ils atteignent l’objectif du gouvernement de réduire les coûts de l’assurance santé. Dans le même temps, les hôpitaux gagnent des millions supplémentaires en raison des paiements incitatifs supplémentaires pour les patients COVID au cours de leur chemin de torture vers la mort, alors qu’ils sont chimiquement et physiquement retenus et isolés des familles, des pasteurs, des prêtres et des rabbins.
En témoigne l’histoire déchirante de Veronica Wolski, une militante bien connue pour la liberté à Chicago, qui fut largement médiatisée. Une fois hospitalisée dans l’hôpital « Resurrection » ainsi nommé ironiquement par le fait du sort, Veronica se vit proposée du Remdesivir, qu’elle refusa à plusieurs reprises, tandis que des soins médicaux de base et appropriés lui furent refusés bien qu’ils auraient pu sauver sa vie, et elle ne fut pas non plus autorisée à entrer en relation avec à sa famille, son prêtre ou un assistant juridique en matière de soins de santé. Veronica a été empêchée de quitter l’hôpital lorsqu’elle-même et ses avocats demandèrent sa libération. Sa procuration en matière de soins de santé lui fut retirée par la sécurité de l’hôpital. Veronica décéda seule en tant que prisonnière médicale dans un hôpital catholique, et fut même privée d’un prêtre lors de ses derniers instants.
Des violations inadmissibles des droits de l’Homme se produisent quotidiennement dans les hôpitaux aux États-Unis, et y compris des violations des Conventions de Genève établies après la Seconde Guerre mondiale pour empêcher les abus sur les prisonniers.
- Les patients sont contraints de prendre des médicaments approuvés à la « sauvette » tel que le Remdesivir, en dépit des risques connus d’insuffisance rénale et hépatique, et sont placés sous respirateurs, le tout rapportant des primes dès lors incitatives et générant d’énormes profits pour les hôpitaux.
- Les patients se voient refuser des liquides et une nutrition adéquats, ainsi que des vitamines, des corticostéroïdes inhalés et intraveineux, des antibiotiques, des antiviraux et des doses adéquates d' »anticoagulants » (anticoagulants).
- Les patients souffrent d’un isolement inhumain avec l’utilisation de contraintes chimiques et physiques, en violation des directives existantes pour la protection des patients.
- Les hôpitaux font appel aux forces de l’ordre pour refuser l’accès à l’enceinte de l’hôpital aux familles et aux avocats.
- Les patients et leurs défenseurs ont été privés de l’information sur les avantages des traitements précoces et l’accès à de tels traitements. Les autopsies ont confirmé que de nombreux patients sont décédés en raison de doses inadéquates d’anticoagulants pourtant d’usage courant, et même après que des membres de la famille se soient rendus devant les tribunaux pour exiger des doses thérapeutiques afin d’aider à préserver des vies.
Les médecins et les infirmières risquent leur carrière, leurs licences, leurs moyens de subsistance et même leur vie alors qu’ils s’expriment courageusement pour donner à leurs patients et au public des informations vitales. Un collègue médecin de l’USI a récemment publié cet avis sur les réseaux sociaux :
« Je viens de terminer un sprint de 10 nuits aux services de soins intensifs. Le dénigrement des patients et la méchanceté flagrante sont arrivés à un nouveau palier jamais atteint de la part de nos collègues de la santé. Comment NE PAS sombrer dans le désespoir alors que ce comportement est autorisé et est en train d’être normalisé ?? … J’ai l’impression d’avoir été jetée dans une suite de « Mean Girls ». Se moquer des patients et de leurs familles pour ne pas être V’d est la chose cool désormais. … Cela ne me dérange pas de prendre soin des patients COVID. Mais cette ambiance haineuse qui a envahi mon univers de travail est ce qui mettra fin à ma carrière si cela ne s’arrête pas. »
Bienvenue dans le nouveau monde des soins médicaux impulsé par le gouvernement et dispensés par des dirigeants d’hôpitaux obéissants et axés sur le profit, impatients de recevoir des paiements incitatifs du gouvernement pour avoir suivi le « protocole COVID ».
NOTE DE L’ÉDITEUR : L’année dernière, les médecins, les infirmières et les ambulanciers paramédicaux américains ont été célébrés comme des héros de première ligne luttant contre une nouvelle pandémie redoutable. Aujourd’hui, sous Joe Biden, des dizaines de milliers de ces mêmes héros sont dénoncés comme des rebelles, des théoriciens du complot, des extrémistes et des terroristes potentiels. Avec un grand nombre de policiers, de pompiers, d’agents des douanes, de Navy SEALs, de pilotes, de contrôleurs aériens et d’innombrables autres Américains vraiment essentiels, ils sont tous considérés comme si dangereux qu’ils méritent d’être licenciés, leur vie professionnelle et personnelle bouleversée. en raison de leur décision de ne pas se faire injecter les vaccins expérimentaux COVID. Le mandat tyrannique de Biden menace de paralyser la société américaine – des forces de l’ordre aux compagnies aériennes en passant par les communications.
NOTE DU TRADUCTEUR: Après les Ehpad français, les hôpitaux aux Etats-Unis sont en train de devenir les nouvelles chambres à gaz version COVID 3ème guerre mondiale et ce, au moyen des mêmes armes employées par les nazis, à savoir le mensonge, la séduction, la manipulation, la propagande, l’intimidation, l’usage de la force, les restrictions de liberté, le couvre-feu, l’emploi et la création de milices, l’oppression politique, l’élimination des contestataires, l’expérimentation médicale, et surtout, comme au commencement du nazisme, l’extermination des plus faibles …