Privatiser l’humain par la dépendance au vaccin

L’obligation à se faire injecter des produits tous les 3 mois, c’est vouloir instaurer une dépendance légale entre nos corps et des produits chimiques. Mais pas seulement. Les personnes vaccinées perdraient une partie de leur immunité naturelle [1] et face aux épidémies, elles deviendraient donc ainsi de plus en plus dépendantes physiquement à des solutions médicales récurrentes. Et ce, afin de pouvoir survivre tandis que ces personnes se retrouvent ainsi privées d’une partie de leurs défenses immunitaires. Sans oublier que l’immunité collective est endiguée par les mesures de confinement ainsi que le port du masque. Les géants pharmaceutiques seraient donc en train de devenir les supports de la privatisation des hommes de cette planète par le biais des décisions de gouvernements qui ne se justifient en rien alors que ces « vaccins » expérimentaux n’ont plus qu’une faible efficacité, n’empêche pas les contagions, participeraient à la création de variants et ont de graves effets secondaires.

Il est donc plus que temps de réagir et dire NON, à ne pas se livrer pieds et poings liés ainsi que nos enfants au bon vouloir de mercenaires tel que le multirécidiviste Pfizer !

Plus encore, « le vaccin à base d’ARNm de Pfizer/BioNTech induit une reprogrammation fonctionnelle complexe des réponses immunitaires innées qui devrait être prise en compte dans le développement et l’utilisation de cette nouvelle classe de vaccins » [1]. Soit à considérer un risque sur l’espèce humaine qui serait à décider comme cela entre le dessert et le fromage. En catimini dans la nuit du lundi au mardi après que le Ministre Véran ait déballé sa soupe aux mensonges à l’Assemblée Nationale. Pour nous laisser le choix entre devenir tout au mieux un zombie inféodé aux lobbys pharmaceutiques ou au pire un mutant dégénéré avec pourquoi pas une variante humaine de la maladie de la vache folle dont « il faudrait alors abattre tout le troupeau … » A moins que le danger ne soit plutôt porté par les « hommes bio » puisque, vivants à l’air libre, ils propageraient la maladie sur les hommes masqués, confinés et sans défenses immunitaires, passant l’essentiel de leur temps dans un poulailler transhumaniste, une puce complétant leur cerveau défaillant, sans oublier sa pipette d’amphétamine le matin, un robot pour baiser le samedi soir et une petite réalité virtuelle le reste de la semaine avec son shout de drogues diverses, et tout cela, dans une bonne petite dictature comme celle de la Chine dont l’efficacité est si enviée des macronistes d’avant-garde. Proposition en a été faite au Sénat par le macroniste L.Alexandre au sujet des robots pour baiser, des hommes augmentés et de la vertu des régimes dictatoriaux … Car « les régimes dictatoriaux ont un avantage décisif sur les démocraties : ils peuvent décider très vite de s’adapter.« . [2]

Jamais ne sont évoqués une réflexion globale sur notre société, et la planète, et encore moins la question du sens de la vie dans ce monde estimé sans avenir en raison de la raréfaction des ressources exploitées à tour de bras selon un consumérisme délirant, mais aussi en raison de la folie des grandeurs et la mythomanie d’oligarques prétendant devenir les dieux d’un modèle mondialiste à poursuivre coûte que coûte dans le mur de la crise écologique. 

Tandis que les alternatives sont niées ou interdites face à ce virus et y compris celle des médecins à pouvoir soigner leurs patients, il ne resterait que ce délire de fait à imposer au niveau mondial la vaccination comme seule et unique solution. Et alors que cette vaccination n’a pas montré ses résultats sur une pandémie qui n’en est pas une (avec un taux d’occupation à 2% de patients COVID à l’hôpital en 2021 [3]) si ce n’est celle qui serait potentiellement induite par les vaccins eux-mêmes qui tuent et condamnerait davantage notre espérance de vie en affaiblissant les organismes. Il faudra bien aussi se résoudre à se poser l’hypothèse d’une (nouvelle) manipulation financière de niveau mondial afin d’imposer un pouvoir autoritaire sur nos sociétés. Mais avant d’en arriver là, d’autres éléments sont à prendre en compte.

L’infamie d’une revendication d’une nature scientifique de l’approche sur le COVID

Les tests n’ont jamais, ne sont pas et ne seront jamais une preuve. Les preuves scientifiques sont formelles et consistent en des démonstrations à partir des axiomes de théories ou des postulats des sciences de la vie. Dans une théorie en sciences physiques, les tests peuvent permettre de corroborer les résultats obtenus par expérimentation lors de la proposition d’un nouveau modèle théorique. Ils servent aussi à déterminer une constante dans une équation ou une formule. Mais en aucun cas, ils ne permettent de prouver quoi ce soit. Bien au contraire, historiquement, leur véritable impact serait d’amener à invalider un modèle existant en isolant qu’il est défaillant dans certains cas, et donc à appeler à la recherche d’un nouveau modèle plus général et cohérent.

Dans l’ingénierie, la théorie est exploitée afin de la mettre en pratique à travers des réalisations concrètes, et les tests sont là pour vérifier qu’un apparatus technique répond bien aux principes théoriques et que les mesures auxquelles il est confronté correspondent bien aux résultats théoriques obtenus par le calcul formel aussi bien que numérique, en fonction des constantes spécifiques à cette réalisation technique. En aucun cas, les tests ne sont là pour prouver un principe théorique. Ainsi, si est industrialisé un relais de disjoncteur assurant la sécurité électrique de bâtiments tels que des hôpitaux, il sera procédé à des tests unitaires, d’intégration et d’exploitation, de températures et compatibilité électro-magnétique qui sont là uniquement pour vérifier que la construction et la conception du relais sont fiables, et pas pour démontrer que les algorithmes de mesure du courant ou de calcul des protections thermiques sont exactes. Ainsi, si le COVID relevait de l’ingénierie, les tests sur les vaccins ne devraient porter tout au plus que sur la posologie ou la bonne conformité des constituants en concentration. Rien de plus.

Et jamais en sciences un test ne peut prétendre prouver le bon usage d’un principe théorique tel qu’on le prétend pour l’ARN messager et alors que de surcroit ces tests sont controversés [4]. Ce qui se passe avec le COVID, si cela se devait se passer en Sciences Physiques, ce serait la mort pure et simple de cette science multi-millénaire, entraînant probablement dans sa chute les mathématiques elles-mêmes tandis qu’en mentant, effectivement, il devient inutile de prendre la peine à démontrer quoi ce soit, et on en revient à la loi du plus fort.

L’attitude indécente de présomption du Ministre Véran, la bouffée délirante du COVID, la dédaigneuse Buzyn et tout le tintouin entendus au quotidien dans les médias, et avec la plupart des vues exprimées, tout cela relève de la pure hérésie en sciences. En aucune manière, ils ne tiennent un discours qui relève d’une approche scientifique où sont posées la problématique, les définitions, la théorie ou modèle, les preuves et les données de calcul.

La plupart des argumentaires se confronte d’entrée avec le paradoxe de Simpson [5] face à cette propagande à prétendre que les chiffres parlent d’eux-mêmes tandis que ce paradoxe explicite comment il est aisé de leur faire dire le contraire de ce qu’est la réalité. Et sans surtout oublier que ce sont des intellectuels qui n’ont aucune maîtrise du seul outil dont ils font usage, à savoir la raison pure. Et de connaître ses limites et conditions d’usage dont celle de la distinction entre jugements analytiques et synthétiques, et savoir, par simple étude sur la forme ce qui relève de l’analyse ou de la synthèse, de l’expérience ou de l’universalité, et surtout de la preuve ou de la conviction ! Nous avons à faire face à des imposteurs, de fausses élites qui étendent la corruption au sens large à tout le champ de notre société.

De vraies élites sont capables de comprendre les impasses intellectuelles pour stopper les oppositions et conflits stériles où thèse et antithèse s’opposent sans nulle chance d’aboutir à une solution acceptable. Et parce qu’il est nécessaire de changer de paradigme exactement comme le montre l’histoire des sciences et qu’il s’agit donc là d’inventer une nouvelle approche. Ainsi qu’il en serait du choix d’une relocalisation où s’exploiteraient les ressources locales à renouveler selon un cercle vertueux pour la planète, la santé, les économies locale et nationale, …, et face à une mondialisation qui nous fait détruire des ressources à l’autre bout du monde et n’offrant d’autre choix que de réduire les populations qui consomment de manière irresponsable ces ressources afin de pallier à cette folie qui fait porter la médiocrité politique sur ceux qui remettraient en cause le délire actuel aussi bien sur le COVID que sur la dérive mondialiste.

Fusse-t-il urgent de le rappeler, la science n’a aucune prétention à fournir « la vérité » dans le monde du vivant, juste de la rechercher en fournissant des connaissances, à savoir ce qu’il y a ou aurait de commun au divers trouvé dans la nature, et de pouvoir ainsi expliquer le particulier par le général. La science veille en premier lieu au respect du principe de non-contradiction sur lequel il faut encore insister alors qu’il s’affiche être le cadet des soucis de ce gouvernement et de son préposé à la Santé qui s’illustre dans une forme de jusqu’au boutisme sans précédent vers l’absurde. Il serait peut-être enfin temps qu’en soit publiquement dénoncé l’indécence pour lui indiquer la porte de sortie, participant à rendre au monde intellectuel la sanction juste et adéquate dont il n’eût jamais fallu s’affranchir face au mensonge et retrouver une chance de reprendre prise avec la réalité.

Spécifiquement, en biologie, non seulement il n’y pas de modèle sur le corps humain mais même l’usage de modèles partiels n’est pas adapté parce que l’on ne ne peut assimiler le fonctionnement d’un organe ou un sous-ensemble du corps humain à un boîte noire avec des entrées et des sorties. La santé de l’homme dépend de facteurs environnementaux, psychologiques, culturels et spirituels. Et c’est ce qui fait que la médecine est un art et que les médecins en sont les praticiens alliant liberté de soigner et convictions scientifiques étayées par leurs connaissances. [6] Dans le cadre de la relation unique qu’ils ont développée avec chaque patient, et selon ce serment d’Hypocrate à servir le bien de la personne.

Historiquement, les précédents vaccins sont devenus obligatoires qu’au-delà d’une quinzaine d’années après leurs premiers usages thérapeutiques. Fonder la légitimité légale à user des vaccins de type DTP sur les résultats de l’expérience tenait simplement à la confiance acquise à travers le temps, et pas à des résultats théoriques. Alors, aujourd’hui, sans véritable retour sur des vaccins sans autorisation, il s’agit juste d’un pur travail d’apprentis sorciers.

Dans la course effrénée à obtenir les juteux marchés et au moyen de tests foireux pour ne jamais prétendre à une seule validité juridique et non scientifique, ces injections auto-proclamées vaccins ne sont donc pas dans le registre de la science mais du marketing auquel se soumet le personnel scientifique. Et dans l’absolu, elles n’ont aucune chance de l’être.

En effet, quand bien même il y aurait des études en double-aveugle qui seraient prétendues suffisantes, elles n’ont pas de légitimité à donner une preuve formelle mais juste à la corroborer si tant est bien sûr que cette preuve existe. De surcroît, cette pratique du double-aveugle est parfaitement contestable étant donné qu’un facteur peut parfaitement être introduit pour faire dire ce que l’on veut à une étude. Un médicament contre le cancer essayé sur deux populations dont une en placebo peut voir ses résultats manipulés très simplement en affectant les personnes les plus atteintes sur un groupe plutôt que sur un autre. De même, une reproduction de l’expérience par les pairs peut mettre à bas une thèse nouvelle si tant est qu’une faille est introduite malintentionellement dans le protocole afin de discréditer cette solution. Exactement comme quand on utilise l’hydroxychloroquine en phase avancée de COVID tandis qu’elle démontre son efficacité par un usage à un stade précoce de la maladie.

L’absence de preuve

Sans tests et même s’il y avait des tests sérieux, sans retour d’expérience et même avec retour d’expérience jugé suffisant, avec une bidouille et même sans bidouille, sans modèle partiel et même avec modèle partiel, sans modèle global et même avec un modèle global, sans une étude sur plusieurs générations de potentielles modifications génétiques et même avec 200 ans de recul sur ces injections, sans un savoir en métaphysique et même avec une connaissance des lois impliquées dans l’évolution des systèmes, sans une compréhension de savoir comment faire évoluer le corps humain et même avec une parfaite connaissance du corps humain, sans une maîtrise des lois de l’évolution et même avec l’aptitude à en percer les mécanismes, sans tout cela et même avec, il ne peut être prouvé que ces « vaccins » soient légitimes à s’appliquer à l’ensemble de la population mondiale de part les conséquences potentielles. Ce qui, on en conviendra, puisqu’il s’agit de l’avenir de l’homme, nécessiterait ad minima une preuve consistante dans le cadre de la science au sens strict basée sur des modèles et des preuves formelles, et qui, puisque ces modèles ont une validité toute relative, relève a fortiori et par construction de l’indémontrable pour une science de la vie ou du vivant où elle ne prétend à aucune vérité. Un risque sur le devenir de l’humanité ne permet pas d’avoir le moindre doute.

Il faudrait avoir accès au plan de la vie sur Terre et pouvoir y confronter nos choix par anticipation tandis que le mystère de l’évolution de la vie reste entier et que personne ne sait quel sera l’avenir ni végétal ni animal, et que nous ne pouvons y prétendre en quoi ce soit à nous en approprier la maîtrise. Même les technologies les plus avancées n’égalent pas la prouesse de ce que représente une simple mouche, de même que les centaines d’années-homme investies en Intelligence Artificielle pour les voitures autonomes ne sont capables d’égaler ce que le premier gamin un peu doué est capable de faire en 30 minutes pour conduire la voiture de son père ! Et sans même parler des immenses capacités de calcul et de ses transformées de Fourier impliquées dans la reconnaissance des formes mise en branle lors d’un simple regard humain.

Les usines à gaz de cette fausse science

A travers cette incurie de l’histoire des sciences et de l’épistémologie, la science est donc vue par ces profanes gouvernementaux comme une sorte de champion de la raison dont ils auraient le monopole parce qu’ils se sont acoquinés aux lobbys pleins de pognon qui se croient eux-mêmes détenteurs de la technologie pour faire foi et ainsi démontrer comme « cul et chemise » une toute puissance qui n’a jamais été aussi fumeuse aux yeux du plus grand nombre. Exactement comme si le fait de posséder une Ferrari transformait son propriétaire en champion de mécanique. La réalité a tôt fait de vous rattraper au détour d’un chemin … Telle semble être le difficile atterrissage de ces fausses élites de la finance dont le seul métier est de mentir par la manipulation pour jouer sur les cours de bourse afin d’empocher des plus-values. Et qui aujourd’hui, ne réussissant plus à convaincre qui que ce soit, en seraient venus à vouloir préserver leur caste par une prise autoritaire du pouvoir.

Une fausse toute puissance d’une fausse science inféodée à l’intérêt financier et qui ne se différencierait plus de la technologie et qui n’aurait à offrir que des améliorations continues comme autant de faux progrès face aux vrais bonds des découvertes scientifiques majeures qui savent faire table rase de tout un éparpillement d’artifices noyant notre quotidien dans une réalité superficielle pour nous faire tomber par terre et pleurer d’émerveillement suite à une compréhension nouvelle des mystères de la nature. Une vraie fausse science qui fait illusion en raison de l’absence de vraie politique.

L’envers du décor de la technologie, ce sont des immenses usines à gaz auxquelles le court-termisme financier condamne les logiciels. Car, sans évolution de la conception, les ingénieurs en sont réduits à se soumettre à un principe bien connu : un problème de perdu, dix de retrouvés. L’informatique n’en est qu’à ses balbutiements tandis que sa démarche souffre d’une absence totale de propédeutique, à savoir comment s’assurer de concevoir et faire évoluer des logiciels sans être obligés de les mettre au rebut au bout de quelques années. Que ce soit celui du simulateur du TGV devenu inutilisable et avec les conséquences qu’on imagine pour vendre des trains, ou que ce soit les 350 millions du logiciel de comptabilité de l’Etat [9] qui a fait plus de pertes dans l’armée que les actions militaires sur le terrain tandis que des engagés se retrouvaient à devoir rembourser des sommes perçues par erreur après avoir été dépensées en permission ..

Alors avant de bidouiller notre ARN comme un logiciel, peut-être faudrait-il en causer 10 minutes pour comprendre de quoi il est en jeu ?

La bidouille de l’ARN messager

Ne transformons pas notre corps en une usine à gaz parce qu’un ringard comme Bill Gates veut refaire la même chose que ce qu’il a fait avec son système Windows et alors même que se déroule ce scandale de nombreux utilisateurs qui subissent des escroqueries par chantage aux données; et que ces délits sont rendus possibles par les vices de conception de ce système d’exploitation. Vous imaginez la scène où « chérie, désolé, je suis en réparation, merci de me rappeler ultérieusement. Si tu souhaites me débloquer, merci d’accéder au configurentiel Microsoft et de te mettre en esclavationnel pour 15 jours fermés ».

L’ARN Messager revient à considérer le corps humain comme une boite noire et à faire une bidouille dans un système qu’on ne connait pas et auquel il ne se réduirait absolument pas, sans n’avoir aucune preuve formelle ni même le moindre modèle du corps humain si tant est que l’on serait capable de le recréer à l’identique. Moderna souhaite modifier « le logiciel de la vie » (« … and I am here today to tell you that we are actually hacking the software of life … »)[7], mais bidouiller, en logiciel, cela finit par mener à une impasse, une situation où il n’y a plus de solution et où il faut tout refaire. Sauf que l’humain, cela ne se reconstruit pas à partir de zéro. Ou alors croire cela, cela revient exactement à la situation de l’alchimie du Moyen-âge et sa quête de l’immortalité

Le monde selon Moa Ma Cron

Scientisme ou laïcité, il faut choisir !

L’antinomie de la raison pure est un résultat majeur et incontournable de la métaphysique comme science de sciences. Il s’agit d’assurer un regard critique sur l’usage de notre raison pure afin de rappeler que toute science amène inéluctablement son lot de contradictions ainsi que cela a été démontré pour toute théorie un tant soit peu consistante, incluant une arithmétique de Peano. C’est le théorème de Godël. Et c’est aussi pour cette raison que A. Einstein déclarait que la solution des problèmes se trouve toujours au-delà du cadre dans lesquels ils se sont posés. Parce que les vraies difficultés ne reposent pas sur l’usage analytique propre à notre raison pure mais implique vision, intuition, imagination pour inventer une nouvelle synthèse.

Les ordinateurs et leurs logiciels sont ainsi dans l’incapacité de résoudre les problèmes NP-complets sans des coûts croissants de manière exponentielle avec la complexité. A moins bien sûr que le Ministre Véran vienne nous expliquer qu’il sait générer la suite des nombres premiers ! Cette question n’avait même pas été mise à l’ordre du jour par le mathématicien Hilbert au sein de sa liste des 23 problèmes à résoudre pour le prochain siècle ! Auquel cas, effectivement, si Véran y parvient, ces problèmes démontrés équivalents de la classe NP-Complet se verraient tous résolus et donc en particulier celui du déchiffrage asymétrique sur lequel repose justement le cryptage par encodage au moyen des grands nombres premiers. Auquel cas, il ne sera alors même plus possible d’assurer la confidentialité et la sécurité informatique d’aucun des systèmes informatiques actuels !

Mais, « que de la gueule », le groupe socialiste a déclaré au Sénat qu' »ils croyaient en la science » [10]. Vraiment, c’est super, nous sommes contents de le savoir. Mais la postérité, elle n’en gardera que la trace d’illuminés exaltés revenus aux prétentions antiques de Parménide à tout savoir par la seule raison et ses capacités analytiques. Soit une vraie association d’ignares en bande organisée.

Alors oui, nous en sommes bien là, à savoir qu’un groupuscule essayer d’imposer sa croyance. Son scientisme.

Et cette question ne s’arrête pas à un conflit avec la seule laïcité qui voudrait que personne ne puisse imposer son prosélytisme. Parce que cette croyance est aussi totalement fausse et en cache d’autres sur l’usage d’une raison sans critique et sûrement aussi une croyance de type religieuse où l’homme pourrait devenir Dieu sur Terre au vu des thèses défendues sur la mondialisation et l’immortalité.

Conclusion

Face à la volonté délibérée des pantins de ce gouvernement à imposer le vaccin d’une entreprise qui a été si lourdement condamnée par ses pratiques délictueuses, il relève de la bien réelle pratique scientifique de se poser la question de ce qui se passe, et de poser des hypothèses face à la situation actuelle.

Et en attendant de se mobiliser et dire STOP à la main-mise financière sur nos institutions par des représentants de l’Etat qui cassent la confiance des Français par leurs mensonges et manipulations, et sans qu’aucune proposition ou projet d’avenir ait jamais été proposée et soit restée en mémoire au cours de ce quinquennat. Et avec ce caractère aggravant du cynisme à récompenser non pas les vertueux, mais les vicieux, ceux qui comme A. Buzyn reçoivent la légion d’horreur [13] alors qu’ils traitaient encore les soignants avec le plus grand dédain [11] [12] et mépris de leurs difficultés quelques semaines avant que le COVID ne se propage selon une nouvelle déclinaison des effets de la mondialisation et d’alors d’être force des décisions qui ont causé la mort de centaines de nos compatriotes que ce soit en réanimation, par un mauvais protocole, en interdisant la prise en charge des malades par leurs médecins, par l’administration de Rivotril aux personnes en EHPAD, ou par l’absence de réponse aux besoins aussi bien en personnel qu’en matériel de l’hôpital.

Plus de 140 études de recherches démontrent que l’immunité naturellement acquise donne des résultats équivalents ou meilleurs à celui des vaccins [8], comment alors prétendre que le vaccin est la seule solution et qu’il faut vacciner tout le monde au lieu de s’occuper des sujets à risques ?

[1] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.05.03.21256520v1.full
[2] https://www.senat.fr/rap/r19-162/r19-16210.html
[3] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf
[4] https://www.wnd.com/2021/11/4964592/?fbclid=IwAR3FGJFPiRNsavGbY46Ta4q9B7ahJpy1uiedgpJHiDzzPz3IvmUHXaBIWz0
[5] https://scienceetonnante.com/2013/04/29/le-paradoxe-de-simpson/
[6] http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/9215/?sequence=1
[7] https://www.youtube.com/watch?v=FU-cqTNQhMM&t=614s&fbclid=IwAR1_IMCG13-2NXfNOFdBZn25SXeYAeKJTp8nKl4A-iBmnxIormgUMNtau30.
[8] https://une-vraie-politique-pour-notre-pays.net/2021/12/09/141-etudes-de-recherche-confirment-limmunite-acquise-naturellement-comme-solution-contre-le-covid-19-sources-et-liens-inclus/
[9] https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-si-paye-de-l-etat-346-meteuro-pour-une-valeur-d-usage-nulle-60217.html
[10] https://www.senat.fr/leg/exposes-des-motifs/ppl20-811-expose.html
[11] https://www.youtube.com/watch?v=tQzN4Hp6CiY
[12] https://www.youtube.com/watch?v=GoGL2W_nJkc
[13] https://www.facebook.com/watch/?v=295971698445897

Une réflexion sur “Privatiser l’humain par la dépendance au vaccin

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